Situé à l'angle de la rue Valette et de la rue Laplace, ce coiffeur a disparu en même temps que l'immeuble qui l'abritait.
11 rue Valette, Paris V°.
Situé à l'angle de la rue Valette et de la rue Laplace, ce coiffeur a disparu en même temps que l'immeuble qui l'abritait.
11 rue Valette, Paris V°.
Au 2 place Magenta, dans l'immeuble "Le Magenta", se trouvait cette importante agence de voyage qui organisait des excursions en autocar dans toute la région.
Vous voyez un camion de pompiers ? Et bien vous avez tort !
Il faut voir derrière le camion rouge un restaurant rouge: Dupont Bastille.
Cette chaîne de restaurants a eu son heure de gloire avant-guerre et jusque dans les années soixante. Son slogan "Chez Dupont tout est bon" est resté.
Au 340 rue de Vaugirard, il était beau ce Prisunic. Il a été remplacé par un Monoprix au même endroit.
C'est à la fin de la deuxième guerre mondiale que les magasins Ratti se sont mis à l'heure américaine, abritant notamment la Croix rouge américaine.
Une de ces innombrables épiceries qu'on trouvait partout à Paris; il y en avait des centaines ! Celle-ci est supposée parisienne à cause de l'immatriculation de la Dauphine garée devant... On devine l'origine italienne du patron grâce aux jolies bouteilles de Chianti accrochées en façade...
Au 39 rue du château d'eau se trouve l'immeuble le plus étroit de Paris (1,40 mètre). C'est ici que monsieur J. Richard vendait la fameuse (?) pâte à chaussures Vite et Bien sans acide !
Le Petit Niçois était un journal d'avant-guerre qui disparut puis reparut dans une nouvelle forme. Ici, prise au début du vingtième siècle, cette carte postale représente l'ancien siège et son "imprimerie spéciale"... Mais j'en ignore l'adresse !
Si quelqu'un sait . . .
En bordure des puces de Saint-Ouen, il y avait encore des lieux où l'on savait s'amuser... et fumer !
J'ignore à quelle adresse se trouvait cette boutique; je sais seulement qu'elle était à Lunéville. Nul doute que le correspondant de Paris-Bise-Art à Lunéville nous renseignera ! Merci d'Avance.
Cette institution des halles (les anciennes) a de toute éternité accueilli les fêtards jour et nuit. Cette vue nous montre le restaurant dans les années soixante - soixante-dix avec une superbe Panhard 24 ct et un non moins remarquable Vélosolex 3800.
6 rue Coquillière, Paris I°.
Vous voyez ce bel immeuble trônant sur la place Vauban:
Place Vauban, Carentan (Manche).
La rue de Glatigny a disparu en même temps que tout un quartier pour permettre la construction de l'Hôtel-Dieu sur l'île de la Cité. Mais y est-on mieux soigné que chez le marchand de vin ?
C'était au temps où l'on pouvait circuler, flâner, faire du lèche-vitrine rue de Rivoli. Bien placée, cette boutique sous les arcades faisait face au Musée des arts décoratifs.
Ce grand magasin de nouveautés affichait fièrement son patronyme au 38 rue Victor Hugo.
Aujourd'hui, un magasin de fripes comme on en voit partout... Dommage !
38 rue Victor Hugo, Bayonne (Pyrénées atlantiques).
Il était bien installé ce fruitier, au coin de la rue Saint-Landry et de la rue des Marmousets, sur l'île de la Cité.
Mais ne cherchez pas, ces rues n'existent plus. Elles ont été victimes des grands travaux qui ont redessiné le centre de Paris. Aujourd'hui, notre fruitier serait quelque-part dans l'Hôtel-Dieu.
On aurait pu croire à une sorte de grand magasin, mais il n'en est rien. "Aux grandes marques" était un magasin d'alimentation où l'on trouvait de tout.
Alors ne faites pas comme moi en pensant que le boulevard de Caudéran est aujourd'hui la rue du même nom... En fait, l'ancien boulevard de Caudéran a été débaptisé après la première guerre mondiale; il s'appelle maintenant boulevard du président Wilson.
77 boulevard de Caudéran, Bordeaux (Gironde).
C'était l'époque où une grande banque - le CNEP - faisait poser ses employés devant l'agence du 55 route de Flandre, à Aubervilliers (Seine).
Aujourd'hui, plus de CNEP; le 4 mai 1966, fusion du Comptoir National d'Escompte de Paris avec la Banque Nationale pour le Commerce et l'Industrie (BNCI), et création de la BNP, Banque Nationale de Paris.
Aujourd'hui, plus de route de Flandre, mais une avenue Jean Jaurès.
Aujourd'hui, Aubervilliers n'est plus une des (rares) communes du département de la Seine, mais se trouve dans la Seine Saint-Denis.
Pour être tout à fait complet, sachez que ma grand-mère a travaillé au CNEP après la guerre (la première).
Il semble qu'au début du XX° siècle, il y ait eu à Agen une succursale du Printemps. Pour tout vous dire, je n'ai rien trouvé concernant ce magasin hormis une carte postale illustrée.
Donc, si vous avez des informations, n'hésitez pas à nous en faire part en utilisant le lien "commentaire" ci-dessous.
Nous avons vu l'évolution de ce lieu sur plus d'un siècle. Il serait dommage de ne pas voir ce qu'il est devenu aujourd'hui, sous l'enseigne de la Fnac.
Angle avenue des Ternes et avenue Niel, Paris XVII°.
C'est monsieur Boisselat, le patron de l'Economie Ménagère, qui charge en 1912 l'architecte Marcel Oudin de construire un nouveau magasin plus en rapport avec ce qu'il était devenu.
Angle avenue des Ternes et avenue Niel, Paris XVII°.
En 1914, le magasin l'Économie Ménagère est racheté par Eugène Corbin, le grand patron des Magasins Réunis. Le magasin prend alors le nom de Magasins réunis Étoile.
Angle avenue des ternes et avenue Niel, Paris XVII°.
Jusqu'en 1911, ce magasin fondé par monsieur Boisselat prospère jusqu'à se sentir un peu à l'étroit dans ses murs...
à suivre...
Angle avenue des Ternes et avenue Niel, Paris XVII°.