Pot-pourri - 3

 

Pot-pourri - 2

 

Pot-pourri -1

 En ces jours qui précèdent Noël, je vous propose un pot-pourri de photographies de magasins parisiens décorés pour les fêtes.

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Souvenirs, souvenirs...

 C'était en 2014.

Vous avez reconnu le boulevard Haussmann avec les grands magasins du Peintemps et des Galeries Lafayette.

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Nancy - Les commerces de la rue Saint-Jean

 Dans une jolie (?) colorisation digne des années quarante !

Dupont - Barbès

Ce bel immeuble qui fait face au métro aérien à Barbès-Rochechouart, vous le connaissez évidemment, c'est (c'était) celui de Tati.

Mais nous voyons ici l'avant Tati, quand on pouvait sans crainte aller manger le soir une douzaine d'huitres à Barbès…  Epoque bénie ! 

Le Dupont-Barbès était un maillon de la chaîne des brasseries Dupont:

Et comme disait ma grand-mère: "Chez Dupont, tout est bon !"

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Quand le BHV livrait à domicile

 Et oui, il fut un temps où le BHV (Bazar de l'hôtel de ville) était un magasin formidable où l'on trouvait de tout. Au sous-sol, le rayon bricolage était le paradis des bricoleurs !

Et puis, entre la rue de Rivoli et la voie Georges Pompidou qui roulaient, les grands parkings reliés directement au magasin, et les transports qui n'étaient pas bloqués, c'était facile d'accès d'où qu'on vienne… Mais ça, c'était avant …

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Le bistrot Papillon

Ah, le bistrot Papillon ! Certains y venaient pour jouer au billard, d'autres préféraient se réfugier prudemment au comptoir où une piste de 421 décidait de qui paierait la tournée (je ne vous dirai pas à quel clan j'appartenais !).  

Mais heureusement la ville de Paris a mis bon ordre à ce bonheur tout simple de ses habitants. Viré le bistrot Papillon, et à sa place un R+6 bien massif et bien moche, ça c'est Paris !

Angle rue des poissonniers et rue Doudeauville, Paris XVIII°.

Le marché de la place des bancs - Limoges

 N'hésitez pas à agrandir l'image de ce beau marché dans les années soixante !

Place des bancs, Limoges (Haute Vienne).

Paul Coffre, boulanger rue de Lyon

 Au du XX° siècle, Paul Coffre était fier de faire état de sa récompense récemment obtenue. Il avait sacrifié la fenêtre de sa salle à manger au profit d'une grande enseigne:

Un peu plus d'un siècle plus tard, miracle, la boulangerie est toujours là. Mais l'enseigne a disparu et la fenêtre de la salle à manger a été récupérée. C'est la rue d'Austerlitz qui par à droite.

25 rue de Lyon, Paris XII°.